Faire de Tours la ville des familles.

Publié le par gp

undefinedIl suffit d’écouter ce que disent les gens sur les marchés, dans les bistrots ou ailleurs, de regarder autour de nous : jeunes actifs, mères de famille, couples séparés, femmes isolées, tout le monde s’accorde pour dire que notre ville manque cruellement de structures d’accueil pour les enfants.
Ecoutant les attentes de ces tourangeaux, je propose, dans "mon plan pour Tours", que la capitale de la Loire devienne la ville des familles. Je prends donc l’engagement, pour que chaque enfant dispose d’une place en crèche, d’augmenter la construction de crèches municipales et de favoriser les créations de crèches associatives et d’entreprises.
Les exemples existent : ainsi, à Tauxigny, a eu lieu la pose de la première pierre de la future crèche inter-entreprises située dans un site d’activités où travaillent 945 salariés.
Et ça marche : déjà 28 inscriptions pour cette structure, capable d’accueillir 35 enfants. 25 places sont réservées aux salariés des entreprises, et dix pour les habitants des communes avoisinantes.
A noter, en guise de conclusion et de clin d’oeil, que cette idée est classée dans la rubrique « bon plan » de la NR…

Publié dans vie locale

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J
L'idée est séduisante et correspond à un besoin réel, en particulier s'il on veut pouvoir favoriser le travail du conjoint, donc le pouvoir d'achat. Mais votre projet appelle trois questions : <br /> 1/ comment financer ces équipements en période de dette (comme le rappelle votre billet précédent à la suite du vote du budget) ?<br /> 2/ d'autres solutions que les crèches sont-elles à étudier, telles que l'embauche de garde à domicile ?<br /> 3/ en quoi ce que vous proposez se différencie des projets des autres candidats (pardon de rappeler que l'on se souvient trop souvent de nos enfants à la veille des élections, pour les oublier le lendemain) ?<br /> Je suis, comme vous semble-t-il, très favorable aux crèches d'entreprises, mais leur construction ne dépend que du bon vouloir des chefs d'entreprise. Comment une municipalité peut-elle agir sur les partenaires privés ?<br /> Merci de me répondre, car comme beaucoup de Tourangeaux d'adoption, je suis arrivé dans cette ville pour le cadre de vie qu'elle offre à ma famille, et s'il devait se dégrader, je serais sans doute contraint de partir.
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G
Toute politique familiale est un investissement qui rapporte aux collectivités publiques : les crèches d'entreprises par exemple seraient financées par les entreprises et la commune qui savent bien que la croissance démographique, le bien-être d'une famille, la possibilité donnée à un homme ou à une femme de travailler après avoir confié son enfant, est une source indiscutable de pouvoir d'achat, donc de consommation, dont de recettes pour les collectivités.Pour votre 2ème question, je propose en effet de multiplier la palette des modes de garde selon les besoins et le moyens des parents : haltes-garderies, crèches d'entreprises, associatives, familiales ou municipales, assistantes maternelles à domicile ou à l'extérieur, etc : tous ces modes constituent à mon avis des gisements d'emplois phénoménaux.Enfin, je préfère ne pas parler des autres car ce qui m'intéresse c'est ce que nous ferons, nous la liste "Générations Tours".  Une seule chose : Maire, député ou ministre : comment feraient-ils demain ce qu'ils n'ont pas su ou voulu faire hier ?
J
Encore une idée piochée dans la NR ... essayez de développer une pensée personnelle et d'avancer des idées concrètes plutôt que des incantations ! Vous vous nourrissez de la NR comme les poulets de batterie se nourrissent de leur m ... Que peut-il sortir de bon et de nouveau d'un tel système de pensée ?
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G
Notre idée de création de "créches d'entreprises" a été présentée lors d'une conférence de presse en octobre dernier. Nous n'avons pas besoin des autres pour penser, nos experts sont nombreux expérimentés et compétents, mais savoir souligner une belle initiative, surtout quand elle fait partie de notre projet, me semble toujours intéressant, loin de toute ...vulgarité et caricature. A chacun sa façon de penser.